Idées reçues et préjugées sur les personnes migrantes
Idées reçues et préjugées sur les personnes migrantes
#1.
LES MIGRANTS SONT POUR LA PLUPART DES PERSONNES PAUVRES
Une bonne partie des migrants sont issus de la classe moyenne et supérieure de leurs pays d’origine[4]. Il faut un capital financier social culturel et intellectuel pour prendre la route de l’exil. Les migrants qui n’ont pas accès aux voies légales de migration paient très cher les passeurs pour franchir les frontières. Le coût du voyage varie en fonction des passeurs, de la provenance et du type de migrations (terrestre, maritime) etc. C’est dire qu’il faut être assez aisé pour entreprendre un voyage.
#1.
LES MIGRANTS SONT POUR LA PLUPART DES PERSONNES Pauvres
Une bonne partie des migrants sont issus de la classe moyenne et supérieure de leurs pays d’origine[4]. Il faut un capital financier social culturel et intellectuel pour prendre la route de l’exil. Les migrants qui n’ont pas accès aux voies légales de migration paient très cher les passeurs pour franchir les frontières. Le coût du voyage varie en fonction des passeurs, de la provenance et du type de migrations (terrestre, maritime) etc. C’est dire qu’il faut être assez aisé pour entreprendre un voyage.
#1.
LES MIGRANTS SONT POUR LA PLUPART DES PERSONNES PAUVRES
Une bonne partie des migrants sont issus de la classe moyenne et supérieure de leurs pays d’origine[4]. Il faut un capital financier social culturel et intellectuel pour prendre la route de l’exil. Les migrants qui n’ont pas accès aux voies légales de migration paient très cher les passeurs pour franchir les frontières. Le coût du voyage varie en fonction des passeurs, de la provenance et du type de migrations (terrestre, maritime) etc. C’est dire qu’il faut être assez aisé pour entreprendre un voyage.
#1.
LES MIGRANTS SONT POUR LA PLUPART DES PERSONNES PAUVRES
Une bonne partie des migrants sont issus de la classe moyenne et supérieure de leurs pays d’origine[4]. Il faut un capital financier social culturel et intellectuel pour prendre la route de l’exil. Les migrants qui n’ont pas accès aux voies légales de migration paient très cher les passeurs pour franchir les frontières. Le coût du voyage varie en fonction des passeurs, de la provenance et du type de migrations (terrestre, maritime) etc. C’est dire qu’il faut être assez aisé pour entreprendre un voyage.